Dans le cadre de la #JournéedesDroitsdelHomme, nous célébrons un principe fondamental : le droit de vivre dans un logement digne et décent. 🏡 La Déclaration universelle des droits de l'homme nous rappelle que chaque personne mérite un environnement sûr et sain. Chez #URSA, nous pensons que la qualité de vie commence par notre lieu d'habitation. C'est pourquoi nous travaillons chaque jour à la conception de solutions qui transforment les maisons et les bâtiments, en veillant à ce que chaque individu ait accès à un environnement qui favorise son bien-être. 🌍 Aujourd'hui, nous réaffirmons notre engagement à construire un avenir meilleur, où chacun peut bénéficier d'un logement décent. 🤝 Swipez pour découvrir les éléments essentiels d'un logement décent.👇 #pourunmeilleuravenir
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Unpopular opinion 🏡 : la crise du logement - et sa résolution - ne sont pas du seul ressort de l'Etat et des seules décisions que le futur gouvernement pourrait prendre une fois installé. Nous sommes également face à une somme de crises locales issues de #blocages que nous créons nous-mêmes, au niveau local. C'est la rentrée, et c'est malheureusement en passe de devenir un classique, la presse de tous bords se fait l'écho de la "crise du logement" qui se manifeste concrètement par : - des difficultés inouïes pour trouver un appartement à #louer dans les grandes villes, les secteurs littoraux... - des étudiants qui ne sont pas les bienvenus dans les villes dans lesquelles ils ont pourtant fait le projet de lancer ou poursuivre leurs #études supérieures, - des employés contraints de refuser des offres d'#emploi faute de logement à proximité, - des couples qui repoussent leur projet d'#enfant pour ces mêmes raisons... Et nous n'avons toujours pas de gouvernement, donc toujours pas de "politique du logement" pour essayer de relancer notre secteur à la peine. Pourtant, nous comprenons aujourd'hui que cette "crise du logement" est non seulement une crise globale du financement et des coûts de construction élevés, mais aussi une somme de "crises locales", c'est-à-dire une question éminemment #géographique et donc #urbanistique : c'est ce que les travaux de Villes Vivantes menés aux quatre coins de la France 🇫🇷 depuis une dizaine d'années, au service des collectivités locales et de leurs politiques d'urbanisme et d'habitat, ont entrepris d'étudier et de démontrer. (nous avons rassemblé ces travaux et leurs enseignements dans un "guide de la sortie de crise du logement" disponible ici : 📖 https://lnkd.in/eZ-fasM7) Cette crise du logement est donc aussi - structurellement - une somme de "crises locales" * dont nous avons moins pris l'habitude d'analyser les ressorts, * pour lesquelles il est également moins commode de pointer du doigts les responsables... puisqu'il s'agit de nous-mêmes, habitants, acteurs de la société civile et élus locaux ! En Californie, le processus d’#autorisation des demandes de permis de construire repose très largement sur le principe du Community Engagement, qui prend la forme d’auditions publiques durant lesquelles les résidents du voisinage sont invités à s’exprimer. Ces séances sont systématiquement filmées et ont été méticuleusement analysées par des chercheuses australiennes qui se sont donc donné la peine d'éplucher quelques 720 interventions d’environ 550 participants... Je vous laisse apprécier, dans l'article ci-dessous, ce qu'elles y ont découvert... Ce petit détour 🌎 nous permettra peut-être de nous interroger, en miroir, sur ce qui fait qu'on manque cruellement de logements à Bordeaux, au Pays Basque ou en Bretagne, ainsi que dans d'autres territoires qui connaissent les mêmes types de débats, les mêmes rapports de force et, souvent, le même genre de conséquences ❌
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Immobilisation de l’immobilier et vieillissement de la population : la problématique négligée - et politiquement incorrecte - de la sous-occupation des logements. J’ai eu l’opportunité d’intervenir hier lors de la première soirée de l’Ecole urbaine de l’ARAU asbl dédiée à la vacance urbaine. Je profite d’abord du post pour remercier l’ARAU pour son invitation et pour souligner la richesse du programme des trois soirées de l’Ecole urbaine (il en reste deux). 👉 vers le programme de l’Ecole urbaine de l’ARAU : https://lnkd.in/gXZfEen3 Mon intervention s’est notamment intéressée au sujet de la sous-occupation des logements. Ce phénomène est peu traité alors que sa réduction aurait des bénéfices : - tant environnementaux, avec moins de besoins en ressources de toutes natures (en particulier foncières) pour des constructions neuves ; - que sociaux, avec un accroissement de l’offre et donc une réduction des coûts du logement. La proportion de personnes vivant dans des logements sous-occupés est très importante. Pour la Belgique, elle est estimée à 59,5% globalement et elle monte à 73,5% pour les plus de 60 ans (données SILC de 2023). Le sujet de la sous-occupation est très important mais il peut devenir politiquement incorrect. Comme je l’ai déjà expérimenté, il conduit généralement à la réaction suivante : « on ne va tout de même pas chasser les vieilles dames de leur logement ». La présentation m’a permis de mettre en exergue les résultats d’une enquête menée à bien par Sophie La Mendola pour son mémoire en urbanisme et développent territorial à l'Université de Liège (https://lnkd.in/guyVSvEu). Cette enquête a mis en évidence qu’une meilleure information des personnes âgées quant aux offres alternatives en logement (logement kangourou, cohabitation intergénérationnelle, Abbeyfield…) réduit considérablement le « taux de volonté du maintien dans sa maison » : il passe de 79% en début d’enquête à 43% en fin d’enquête lorsque les enquêtés sont mieux informés ! 👉 vers le le mémoire de Sophie La Mendola : https://lnkd.in/gUknDgD3 La conclusion est limpide : des efforts d’informations peu couteux pourraient permettre une libération substantielle de l’offre immobilière (« sans chasser les vieilles dames de leur logement ») ! Ces efforts d’informations ne devraient-ils pas devenir une priorité pour les responsables en charge des politiques du logement ? Sophie La Mendola ARAU asbl Marion Alecian Alix Sacré
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➡ UN MODÈLE DÉFAILLANT Michel Aubouin : « En matière de logement social, les HLM ne sont plus la solution mais largement le problème » Michel Aubouin vient de publier une étude intitulée « Les étrangers extra-européens et le logement social en France » pour la Fondapol et l’Observatoire de l’immigration et de la démographie. Atlantico : Vous venez de publier une étude intitulée « Les étrangers extra-européens et le logement social en France» pour la Fondapol et l’Observatoire de l’immigration et de la démographie. La France a développé, dans l’espace européen, un modèle de logement social sans équivalent. Ce modèle génère depuis le début des années 1980 une série de désordres dont l’ampleur ne fait que croître au fil des décennies, sans qu’il ne soit remis en cause. Pour vous, les solutions pour remédier à cette crise sont simples. Quelles seraient-elles ? Michel Aubouin : Le modèle français de logement social se traduit par la concentration d’immeubles dit « HLM » dans de mêmes espaces. Pour des raisons de coût du foncier, ces concentrations ont été opérées sur des terrains éloignés des centre-villes, en les isolant du reste du tissu urbain. Les coûteuses opérations de rénovation urbaine n’ont pas réussi à corriger leur isolement, car les reconstructions ont été réalisées sur place. Les pratiques de peuplement ont fait le reste, renforcées au cours des décennies par l’immobilisme des populations accueillies. Ce sont ces mécanismeq, en nourrissant une forte identification au quartier, qui ont fini par générer d’importants désordres. Au sein du logement social se sont ainsi développés les 1 500 quartiers dit « de la politique de la ville », regroupant plus de huit millions d’habitants, qui subissent la loi de groupes criminels violents. (...)
Michel Aubouin : « En matière de logement social, les HLM ne sont plus la solution mais largement le problème »
atlantico.fr
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💬 [On parle de nous] "La crise du logement est croissante et les plus précaires éprouvent plus de difficultés pour trouver un toit. En France, plus de 8% des bâtiments sont vacants. L’association Caracol a compris ces enjeux et lutte pour proposer des solutions à ce problème qui ne fait qu’accroître les inégalités." Il y a quelques semaines, Lucie Vautrin, notre chargée de mission, à été interrogée par des journalistes de Rédac'Jeunes de la Mission Locale Lille Avenirs pour le #18ième numéro de REGARDS JEUNES ! 💡 Les pages 8 et 9 de cet article de la Mission Locale Lille Avenir mettent en lumière notre modèle de colocations multiculturelles et inclusives par l’occupation temporaire. 🙌 Encore un grand merci à la Mission Locale Lille Avenirs et à Camille Clemme pour cette belle mise en lumière ! ⤵ Pour découvrir comment Caracol propose des solutions innovantes pour lutter contre la crise du logement tout en favorisant l'intégration sociale et culturelle, c'est directement en page 8 et 9 ! ⤵ #occupationtemporaire #lille #regardsjeunes
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Cette étude sur l'#habitat #sénior menée par l'Université de Liège est intéressante, car elle soulève la question de l'habitat désiré par les séniors, tout en pointant du doigt la sous-occupation accentuée du parc. Certes, les conséquences sont d'ordres systémiques et affectent déjà les jeunes générations, mais de là à en déduire un comportement individualiste...Je dirais plutôt qu'il manque une approche sociétale, et donc une vision politique partagée. Les personnes âgées ne gardent-elles pas des chambres d'amis pour accueillir leurs petits enfants pendant les vacances ? S'agit-il d'un comportement individualiste ou familialiste ? La question n'est pas abordée. Le frein principal au changement de résidence semblerait être l'attachement à son quartier. L'étude invite donc implicitement à promouvoir des modes d'habiter alternatifs dans ce que nous appellerions des "villages d'avenir" et pas nécessairement dans les "coeurs de ville". Reste que l'offre de services (mobilité) peut être insuffisante. Cela questionne nécessairement d'autres politiques publiques et les moyens inhérents. Parmi les critères favorables à une mobilité résidentielle, l'étude recense principalement les difficultés d'entretien du logement, le souhait d'occuper un logement plus petit ou mieux adapté, ainsi que le décès du conjoint. Il n'est pas fait mention du souhait de se rapprocher des médecins de ville. Ce critère mériterait sans doute d'être confirmé ou infirmé lors d'une prochaine étude. Il n'est pas fait non plus mention du souhait de se rapprocher du littoral (mer, îlot de fraicheur), même si l'ADIL53 a démontré que ce "on-dit" n'était pas (encore) fondé. L'étude plaide pour la promotion des habitats alternatifs, tant il est vrai qu'ils sont plutôt mal identifiés par les pouvoirs publics. Et apport fort intéressant, l'étude nous précise les modes d'habiter souhaités, sachant qu'ils varient selon l'âge des habitants. On peut relever que la population enquêtée disposait de ressources assez conséquentes, ce qui peut avoir participé au déclassement de l'habitat solidaire. On peut aussi noter que le bimby, encouragé par le 1er Ministre français dans son discours portant sur le "choc de l'offre", ne reçoit pas un écho très favorable parmi les populations séniors. Pourtant, la vision promue par le Gouvernement est on ne peut plus familialiste/traditionnaliste : accueillir sa propre famille sur son fond parcellaire, soit, la "politique des mères sandwich" comme horizon sociétal. Or, l'étude montre que les aînés ne veulent pas - plus - être à charge de leurs enfants. Seraient-ils alors en demande de cohabitation intergénérationnelle, mais pas en famille tout le temps ? 1- La cohabitation intergénérationnelle (+90 ans) ; 2- L'Abbeyfield (avec chambre d'amis dans ce cas ?) (60-70 ans) ; 3- L'habitat participatif (60-70 ans) ; 4- L'habitat domino (70-80 ans) ; 5- Le logement Kangourou (70-80 ans) ; 6- L'habitat solidaire ; 7- Le concept Bimby. Jean-Marie HALLEUX
Immobilisation de l’immobilier et vieillissement de la population : la problématique négligée - et politiquement incorrecte - de la sous-occupation des logements. J’ai eu l’opportunité d’intervenir hier lors de la première soirée de l’Ecole urbaine de l’ARAU asbl dédiée à la vacance urbaine. Je profite d’abord du post pour remercier l’ARAU pour son invitation et pour souligner la richesse du programme des trois soirées de l’Ecole urbaine (il en reste deux). 👉 vers le programme de l’Ecole urbaine de l’ARAU : https://lnkd.in/gXZfEen3 Mon intervention s’est notamment intéressée au sujet de la sous-occupation des logements. Ce phénomène est peu traité alors que sa réduction aurait des bénéfices : - tant environnementaux, avec moins de besoins en ressources de toutes natures (en particulier foncières) pour des constructions neuves ; - que sociaux, avec un accroissement de l’offre et donc une réduction des coûts du logement. La proportion de personnes vivant dans des logements sous-occupés est très importante. Pour la Belgique, elle est estimée à 59,5% globalement et elle monte à 73,5% pour les plus de 60 ans (données SILC de 2023). Le sujet de la sous-occupation est très important mais il peut devenir politiquement incorrect. Comme je l’ai déjà expérimenté, il conduit généralement à la réaction suivante : « on ne va tout de même pas chasser les vieilles dames de leur logement ». La présentation m’a permis de mettre en exergue les résultats d’une enquête menée à bien par Sophie La Mendola pour son mémoire en urbanisme et développent territorial à l'Université de Liège (https://lnkd.in/guyVSvEu). Cette enquête a mis en évidence qu’une meilleure information des personnes âgées quant aux offres alternatives en logement (logement kangourou, cohabitation intergénérationnelle, Abbeyfield…) réduit considérablement le « taux de volonté du maintien dans sa maison » : il passe de 79% en début d’enquête à 43% en fin d’enquête lorsque les enquêtés sont mieux informés ! 👉 vers le le mémoire de Sophie La Mendola : https://lnkd.in/gUknDgD3 La conclusion est limpide : des efforts d’informations peu couteux pourraient permettre une libération substantielle de l’offre immobilière (« sans chasser les vieilles dames de leur logement ») ! Ces efforts d’informations ne devraient-ils pas devenir une priorité pour les responsables en charge des politiques du logement ? Sophie La Mendola ARAU asbl Marion Alecian Alix Sacré
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🏡 𝐉𝐨𝐮𝐫𝐧𝐞́𝐞 𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥𝐞 𝐝𝐞 𝐥’𝐡𝐚𝐛𝐢𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 – 𝟐𝟐 𝐧𝐨𝐯𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞 🏡 Aujourd’hui, nous soulignons l’importance du logement comme pierre angulaire d’une société inclusive et résiliente. La Journée nationale de l’habitation nous rappelle que nous avons tous un rôle à jouer pour répondre aux besoins en matière de logement. En travaillant ensemble – gouvernements, organisations, communautés et individus – nous pouvons créer des solutions durables et accessibles pour offrir à chacun un endroit où vivre dans la dignité. 💡 𝐋𝐞 𝐥𝐨𝐠𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭, 𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐛𝐢𝐞𝐧 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐪𝐮’𝐮𝐧 𝐭𝐨𝐢𝐭 : 𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐮𝐧 𝐠𝐚𝐠𝐞 𝐝𝐞 𝐬𝐞́𝐜𝐮𝐫𝐢𝐭𝐞́, 𝐝𝐞 𝐬𝐭𝐚𝐛𝐢𝐥𝐢𝐭𝐞́ 𝐞𝐭 𝐝’𝐞𝐬𝐩𝐨𝐢𝐫 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐮𝐧 𝐚𝐯𝐞𝐧𝐢𝐫 𝐦𝐞𝐢𝐥𝐥𝐞𝐮𝐫. En tant que professionnel de l’immobilier, je suis fier de contribuer à aider les gens à trouver leur chez-soi, un espace où ils peuvent s’épanouir. #JournéeDeLHabitation #LogementPourTous #CollaborationEtInnovation
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Le « résumé » en quelques lignes dans la newsletter TimeToSignOff du jour souligne un sujet majeur de la société actuelle et surtout à venir : l’impact cumulé de la décohabitation et de l’accroissement de la durée de vie : « là où il fallait 32 logements pour abriter 100 personnes en 1968, il en faut désormais 46. +45% ». Il convient d’y ajouter l’impact de la concentration de la population dans certaines zones (dynamiques, et surtout équipées) du territoire - avec donc une pression accrue sur les logements par endroit et un abandon immobilier dans l’autre (cf données Insee , ou la carte présentée ici par Olivier SALLERON il y a qqs jours - on retrouve la chère diagonale du vide de notre enfance, mais aussi de multiples périphéries : les ‘entre-deux’ des grandes métropoles). Dans un domaine qui m’est plus proche, cette individualisation - et la solitude induite - de nos modes de vies ; Outre qu’elle coûte cher par manque de mutualisation, génère des souffrances (cf Les Petits Frères des Pauvres, Fondation Abbé Pierre , Mouvement international ATD Quart Monde) et interroge sur les solidarités de demain. qui seront par exemple les #aidants de nos vieux demain ? aujourd’hui 83% d’entre eux sont des proches familiaux qui vivent pour leur très grande majorité dans le même domicile. De nouvelles solidarités sont certainement à imaginer, à construire. les initiatives sont nombreuses autour de l’habitat (poke Dominique SALIOU 🚀 , Alexandre Faure) mais le croisement des courbes s’il se poursuit risque de s’accompagner d’impacts sociaux et psychosociaux lourds, complexes et coûteux à gérer dans la durée. Sur ce sujet comme tant d’autres, nous vivons une période extraordinaire. la Providence faisant toujours bien les choses, nous arrivons au pied d’un mur. C’est là qu’on voit le mieux le mur, et cela nous poussera à agir. Particulièrement car il n’y a plus de certitudes ou de solidité dans aucun domaine aujourd’hui - nous avons pour quelques années la « chance » d’être obligés de tout ré-ecrire.
TTSO du 1 février 2024 : Explosion
ttso.paris
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Épisode 1 : d'une vie comme une autre :) - le logement On devrait tous et toutes avoir le droit de revendiquer ces points et ne pas devoir baisser la tête de peur d'être trop exigeant vis-à-vis de notre condition . Le droit à un logement convenable ( ce qui devrait être) Rapporteur spécial sur le droit à un logement convenable Principaux éléments du droit à un logement convenable Un logement convenable doit offrir davantage que quatre murs et un toit. Plusieurs conditions doivent être remplies pour que certaines formes d’abris soient considérées comme des « logements convenables ». Il s’agit d’éléments tout aussi fondamentaux que la simple fourniture et disponibilité d’un logement. Pour qu’un logement soit convenable, il doit répondre, au minimum, aux critères suivants. - La sécurité d’occupation : un logement n’est pas convenable si ses occupants n’ont pas un degré de sécurité d’occupation qui leur garantit une protection juridique contre les expulsions forcées, le harcèlement et d’autres menaces. - L’existence de services, matériels, installations et infrastructures : un logement n’est pas convenable si ses occupants ne disposent pas d’eau potable, d’installations d’assainissement suffisantes, d’une source d’énergie pour faire la cuisine, de chauffage, d’éclairage, d’un lieu de stockage pour la nourriture ou de dispositifs d’évacuation des ordures ménagères. - Un logement accessible financièrement : un logement n’est pas convenable si son coût menace ou compromet l’exercice, par ses occupants, d’autres droits fondamentaux. - L’habitabilité : un logement n’est pas convenable s’il ne garantit pas la sécurité physique des occupants ou n’offre pas suffisamment d’espace ainsi qu’une protection contre le froid, l’humidité, la chaleur, la pluie, le vent ou d’autres dangers pour la santé et les risques structurels. - L’accessibilité : un logement n’est pas convenable si les besoins particuliers des groupes défavorisés et marginalisés ne sont pas pris en compte. - L’emplacement : un logement n’est pas convenable s’il n’y a pas à proximité des possibilités d’emploi, des services de soins de santé, des écoles, des services de garde d’enfants et d’autres équipements sociaux, ou s’il est situé dans une zone polluée ou dangereuse. - Le respect de critères culturels : le logement n’est pas convenable si l’expression de l’identité culturelle des occupants n’est pas respectée et prise en compte. https://lnkd.in/daQYXSmE
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Réinventer le logement: Un défi pour l’avenir de Prévost | Selon Michèle Guay, une solution prometteuse pour gérer la crise et s’éloigner d’une vision capitaliste de l’habitation serait d’encourager les coopératives. Ce modèle offre un mode de vie différent, où les membres, qu’ils soient âgés, étudiants ou parents célibataires, sont collectivement propriétaires des espaces communs. En devenant membres, ils paient une somme pour devenir actionnaires et contribuent tous aux frais d’entretien et de rénovation. C’est une forme d’entraide démocratique qui apporterait un souffle nouveau à la région et qui permettrait d’éviter que l’accessibilité au logement ne soit basée que sur certains critères.
Réinventer le logement - Journal des Citoyens
https://www.jdc.quebec
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[une solution contre la crise?] l’approche de conception centrée sur les personnes usagères a prouvé son efficacité en conception. C’est la pensée design. Au Canada, on a nommé une défenseure 🛡️ du logement pour aider le gouvernement dans l’élaboration de ses politiques publiques en logement abordable pour tout le monde. Cette approche augmente les chances de réussite des projets et réduisent les coûts pour les développer et les opérer. Appliquer la pensée design en logement, c’est une application concrète du principe que le logement est un droit, et non une marchandise. Des milliers d’OBNL et de coops d’habitation 🏘️ placent ce droit au coeur de leur mission tout en activant une activité économique 📶 nécessaire au maintien de l’immeuble. La crise se réglera par plusieurs solutions. l’#économiesociale en est une puissante. Bonne journée nationale de l’habitation! https://lnkd.in/gZ3vPV_N
Les personnes qui subissent la crise du logement doivent être au centre des solutions
ledevoir.com
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