Veules-les-Roses
Veules-les-Roses | |||||
La Veules et les cressonnières. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Normandie | ||||
Département | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Dieppe | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de la Côte d'Albâtre | ||||
Maire Mandat |
Yves Tasse 2020-2026 |
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Code postal | 76980 | ||||
Code commune | 76735 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Veulais | ||||
Population municipale |
520 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 100 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 52′ 27″ nord, 0° 48′ 01″ est | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 79 m |
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Superficie | 5,19 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Valery-en-Caux | ||||
Législatives | Dixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Géolocalisation sur la carte : Normandie
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Liens | |||||
Site web | http://www.veules-les-roses.fr/ | ||||
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Veules-les-Roses est une station balnéaire et une commune française, située en bord de mer, dans le département de la Seine-Maritime, en région Normandie. Elle compte parmi « Les Plus Beaux Villages de France ».
Ses habitants sont les Veulais.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Veules-les-Roses se situe sur le littoral cauchois (côte d'Albâtre).
Le village est situé à 7 km de Saint-Valery-en-Caux, à 8 km de Fontaine-le-Dun, à 18 km de Doudeville, à 20 km d'Offranville et à 26 km de Dieppe.
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Vue générale du village.
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La falaise, vue vers l'est.
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La plage, vue vers l'est.
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Le village et les falaises, vue vers l'ouest.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]Elle est baignée par la Veules, plus petit fleuve de France dont la longueur du cours atteint 1 149 m.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Pays de Caux, frais, humide et pluvieux, légèrement plus frais que dans le Cotentin[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 903 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Dieppe à 21 km à vol d'oiseau[4], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 805,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Veules-les-Roses est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9] et hors attraction des villes[10],[11].
La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[12]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (87,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (78,7 %), zones urbanisées (15,9 %), prairies (4,8 %), zones humides côtières (0,6 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous la forme Wellas en 1025[15], Welles, Veules au XIVe siècle[16].
Il s'agit du vieil anglais wella (anglais moderne well « puits »)[17] ou du vieux norrois vella[18], au pluriel qui peut désigner un cours d'eau ou une source, en l'occurrence « la Veules ». Le transfert du nom d'un cours d'eau au nom d'un lieu est fréquemment observé, ainsi trouve-t-on en Seine-Maritime : Dieppe, Fécamp, Eu, etc.
Homonymie avec les Wells d'Angleterre.
On identifie cet élément en Normandie dans des composés fréquents comme Cresseveuille (Cresseveulle 1668 cf. Creswell, GB), Rouelles (désigné sous la forme Rodewella au Moyen Âge cf. Rothwell, GB), Rouelles (lieu-dit à Sainte-Mère-Église), le Radegueule (Radevel XIIe siècle cf. Radwell, GB), etc.
Le déterminant complémentaire -les-Roses a remplacé celui de -en-Caux (Journal officiel du ), il revêt un caractère quelque peu publicitaire, car il n'y a aucune production de roses dans cette cité balnéaire[19].
Histoire
[modifier | modifier le code]Dès 1840, l'actrice de la Comédie-Française, Mademoiselle Anaïs, entraîne dans son enthousiasme le comédien Étienne Mélingue. L'écrivain Paul Meurice y reçoit à plusieurs reprises son ami Victor Hugo. L'écrivain Michel Bussi a écrit une nouvelle dédiée à l'actrice dans son ouvrage T'en souviens-tu mon Anaïs ?. Il imagine un secret gardé par la jeune femme et qui impliquerait Victor Hugo. Amoureux de Veules-les-Roses, l'auteur déclare dans un entretien () mené avec un journaliste de Tendance Ouest[réf. nécessaire], à propos de son endroit préféré en Haute-Normandie : « Je pense que ça devrait être la côte d’Albâtre, plus particulièrement la ville de Veules-les-Roses. J’aime ce village qui reste préservé, presque secret et qui n’est pas encore touché par le tourisme de masse. J’adore ses falaises, la ville a quelque chose de romantique et de sauvage. »
Veules et ses environs ont ensuite été le lieu d'élection de plusieurs peintres russes au XIXe siècle, en particulier Alexeï Bogolioubov (qui découvre la Normandie en 1857), Ilia Répine, Vassili Polenov, Konstantine Savitski, Alexeï Harlamov et Karl Goun.
Deux représentants des coloristes écossais Samuel Peploe et John Duncan Fergusson y ont aussi posé leur chevalet.
En , 3000 soldats français et anglais[20] sont évacués sur la plage de Veules pour échapper à la capture. Les 11 et , la ville subit une bataille destructrice entre le 23e groupe de reconnaissance de division d'infanterie et la 7e Panzerdivision du général Rommel. Le front de mer est particulièrement détruit par les combats. Un patrouilleur, le Cérons, est coulé face à la plage.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Veules-les-Roses a signé un serment de jumelage avec :
- Alfriston (Grande-Bretagne) depuis 2013.
- Cérons (France) depuis 2016.
Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Eau et déchets
[modifier | modifier le code]Espaces publics
[modifier | modifier le code]Le , Veules-les-Roses est classée par l'association des plus beaux villages de France[21], devenant le 157e membre de l'association et le 1er membre de Seine-Maritime.
Dans son communiqué, l'association précise : « L’histoire est belle et l’issue, quasi inattendue pour l’un des plus anciens villages du pays de Caux. Car rien - ou presque, n’aura épargné Veules-les-Roses : des invasions barbares à la Seconde Guerre mondiale en passant par les guerres de Religion… Pillages, incendies, destructions n’ont pourtant pas eu raison de la volonté des Veulais de reconstruire et protéger leur patrimoine »[23].
Enseignement
[modifier | modifier le code]Postes et télécommunications
[modifier | modifier le code]Santé
[modifier | modifier le code]Justice, sécurité, secours et défense
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].
En 2021, la commune comptait 520 habitants[Note 1], en évolution de −12,46 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Sports et loisirs
[modifier | modifier le code]Vie associative
[modifier | modifier le code]Cultes
[modifier | modifier le code]Médias
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]Revenus de la population et fiscalité
[modifier | modifier le code]Emploi
[modifier | modifier le code]Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]À Veules, la pêche a été une activité importante durant les décennies passées. Des pêcheurs avec leur doris, allaient tendre au large leurs trémails, bertelles (filets à grosses mailles) casiers ou cordes. De même, à marée basse, ces mêmes pêcheurs allaient poser leurs parcs, tendre leurs verveux ou faire une marée de salicoques (crevettes) aux pousseux, fouines, lannets ou autres caudières (balances). La fourche à bêcher était utilisée pour attraper les équilles. Aujourd'hui, on peut encore admirer ces derniers artisans de la pêche et faire une petite marée de crevettes, s'amuser dans les rochers à ramasser quelques vigneaux (bigorneaux) ou cueillir des moules.
L'activité de nos jours s'est enrichie, outre le développement de la cressiculture dans les sources de la Veules, par la production d'huîtres au pied des falaises.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Trois demeures et villas de bord de mer aux 6, 13 et 25 rue du Docteur-Pierre-Girard (RD 142)[28],[29],[30]
- Chemin dit des Champs-Élysées, un moulin répertorié du patrimoine culturel[31]
- Autres moulins à eau sur le cours de la Veules[32]
- Église Saint-Martin[33] Classée MH (1996)
- Jardin Saint-Nicolas, dans lequel on trouve les ruines de l'église du même nom[34] et la croix hosannière nimbée du XVe siècle[35] Classé MH (1930)
- Monument à Victor Hugo, place Mélingue, auquel ont contribué les sculpteurs André-Joseph Allar, Louis-Ernest Barrias et Denys Puech[36].
- L'épave du Cérons, navire coulé le , visible sur la plage à marée basse[37].
Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]Les espaces remarquables du littoral sur la commune sont cartographiés depuis 1994 (1994)[38].
Les cressonnières sont situées au début de la balade touristique qui mène à la plage en passant par les Champs-Élysées.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Anaïs Aubert fut suivie par de nombreux autres artistes, Étienne Mélingue, les paysagistes Xavier et César De Cock frères, Antoine Chintreuil et Henri Harpignies, Paul Meurice, les comédiens Paul-Louis Leroux (de la Comédie-Française) et Eugène Pierron[39], Alexandre Dumas fils, Lockroy, José-Maria de Heredia, Henri Rochefort, Alexis Bouvier, Jules Michelet, Victor Hugo[40], les poètes Jean Richepin et François Coppée, les dramaturges Jules Claretie, Henri Lavedan, Émile Bergerat et le compositeur Alexandre Georges.
Des hommes politiques comme Henry Maret, Alexandre Millerand, René Viviani, Louis Malvy, Albert Clemenceau ou Pierre Taittinger fréquentent également la station.
Victor Boucher, Georges Chamarat, Saint-Granier, l’écrivain Maurice Privat, Dominique Bonnaud ainsi que les sportifs Suzanne Lenglen et Lucien Gaudin fréquentent Veules par la suite.
Anna Hope Hudson a établi un hôpital pour soldats pendant la Première Guerre mondiale.
Héraldique
[modifier | modifier le code]D'azur au voilier d'argent, la coque bordée d'or, flammé du même, voguant sur une mer d'argent agitée d'azur, de laquelle émerge un filet de sable chargé de poissons d'or hissé à bord du bateau par un marin d'argent vêtu et couvert de sable, le tout accosté de deux roses naturelles de gueules, les pétales bordés d'argent, tigées et feuillées de sinople, celle de dextre posée en barre et cette de senestre affrontée posée en bande; au chef cousu de gueules chargé de deux bouquets de roses naturelles sans nombre d'or, de gueules et d'argent, tigées et feuillées de sinople, adextrées de deux léopards d'or passant l'un sur l'autre. Les deux léopards d'or sur champ de gueules rappellent les armes de la Normandie. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Michel Bussi, Anaïs : Le secret de Veules-les-Roses, Hervé Chopin, , 160 p. (ISBN 978-2-35720-679-3).
- Marie Jamet, Veules-les-Roses balnéaire : histoire et architecture, Rouen, Éditions des Falaises, , 144 p. (ISBN 978-2-84811-631-0).
- Didier Le Scour, Danièle Dunogent et Antoine Auverny, Veules-les-Roses : La mer est là, Dieppe, La Vigie, 1980.
- Marcel Marc, Les Trois Crimes de Veules-les-Roses, Paris, Gallimard, , 221 p.
- Manoëlle Miquel-Regnauld, Veules-les-Roses, la Romantique, Éd. Bertout, 1998 ; Charles Corlet, 2011 (ISBN 978-2-84706-392-9).
- Tatiana Mojenok Ninin, Les Peintres russes et la Normandie au XIXe siècle, Éd. Points de vues, Ass. pour la Sauvegarde du Patrimoine Veulais, 2010 (ISBN 978-2-915548-47-1).
- Paul Noël dit Joseph Tourteau, L'Écrit des Mouettes (histoires cauchoises), Luneray, Éd. Bertout, 2002.
- Louis Prevost, Recherches historiques sur la ville et la vallée de Veules, 1888 ; Éd. Bertout, 1980 ; Le Livre d'histoire, 2012 (ISBN 978-2-7586-0674-1).
- Marc Tabone, Veules, : Écossais et Français pris au piège !, Bonsecours, Comever, , 112 p. (ISBN 978-2-9522138-7-5).
- Martine Wattel (photogr. Vincent Thibert), Veules-les-Roses Saint-Valery-en-Caux : fenêtres sur mer, Rouen, Éditions des Falaises, , 128 p. (ISBN 978-2-84811-510-8).
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Veules-les-Roses sur le site de l'Insee
- Fiche Station verte de Veules-les-Roses
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
- « Orthodromie entre Veules-les-Roses et Dieppe », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Dieppe » (commune de Dieppe) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Dieppe » (commune de Dieppe) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Veules-les-Roses ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
- « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 162.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. II, Genève, Librairie Droz, (ISBN 2-600-00133-6, lire en ligne), p. 1010.
- François de Beaurepaire, op. cit..
- Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie, éditions OREP, 2009, p. 54.
- Christian Guerrin, « Les compléments toponymiques dans les noms de communes de Seine-Maritime », Nouvelle revue d'onomastique, Année 2000, p. 318.
- « Son Histoire »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Veules les Roses, (consulté le ).
- Camille Larher, « Municipales de mars 2020 : deux listes et une candidature individuelle à Veules-les-Roses : A veules-les-Roses, près de Dieppe (Seine-Maritime), les municipales s'annoncent mouvementées : deux listes et une candidature individuelle vont s'affronter », Les Informations dieppoises, (lire en ligne, consulté le ) « Jean-Claude Claire, le maire actuel de Veules-les-Roses (Seine-Maritime), avait déjà fait part de son souhait de ne pas se représenter aux prochaines élections municipales. Mais il souhaite aussi voir sa ville natale continuer à évoluer entre de bonnes mains. Une partie de son équipe figure sur la liste portée par Yves Tasse, un Veulais âgé de 62 ans. À la retraite courant 2020, il dirige un des 10 entrepôts Transgourmet. C’est lui qui prend la tête de la liste Veules pour tous ».
- « Veules-les-Roses. Les conseillers ont élu leur nouveau maire et ses adjoints », Le Courrier cauchois, (lire en ligne, consulté le ).
- « Veules-les-Roses (76), nouveau promu parmi Les plus Beaux Villages de France ! | Les plus beaux villages de France - Site officiel »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur les-plus-beaux-villages-de-france.org (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Maison », notice no IA00054452, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, par l'architecte rouennais Pierre Lefebvre
- « Demeure », notice no IA00054451, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, d'origine de 1577, remaniée
- « Maison », notice no IA00054454, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Un moulin du chemin des Champs-Élysées. », notice no IA00054455, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Quatre moulins non étudiés. », notice no IA00054462, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église Saint-Martin. », notice no PA00101085, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église Saint-Nicolas. », notice no IA00054460, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Croix hosannière. », notice no PA00101084, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Monument à Victor Hugo, Veules-les-Roses », Petit patrimoine
- « Autres épaves "non coulées" à Dunkerque ».
- « Les espaces remarquables du littoral à Veules-les-Roses », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
- Bibliographie BnF d'Eugène Pierron (1819-1865).
- Victor Hugo a été accueilli plusieurs fois chez son ami Paul Meurice qui possédait une maison à Veules-les-Roses.