The Nightingale (film, 2018)
Réalisation | Jennifer Kent |
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Scénario | Jennifer Kent |
Acteurs principaux | |
Pays de production | Australie |
Genre |
Aventures Drame Thriller Historique |
Durée | 136 minutes |
Sortie | 2018 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
The Nightingale est un film australien réalisé par Jennifer Kent, sorti en 2018.
Il a été présenté en compétition à la Mostra de Venise 2018[1].
C'est le deuxième long métrage de la réalisatrice, après le très remarqué Mister Babadook, sorti en 2014.
Synopsis
[modifier | modifier le code]En 1825, Clare, une jeune Irlandaise, poursuit un officier britannique à travers la Tasmanie pour se venger d'actes de violence qu'il a commis contre elle et sa famille, avec pour seul guide un aborigène[2].
Fiche technique
[modifier | modifier le code]- Réalisation et scénario : Jennifer Kent
- Photographie : Radek Ladczuk
- Musique : Jed Kurzel
- Montage : Simon Njoo
- Société de distribution : Kinovista (France)
- Pays de production : Australie
- Langues originales : anglais, irlandais, palawa kani[3]
- Format : couleur — 1,37:1
- Genre : aventures, drame, thriller et historique
- Durée : 136 minutes
- Dates de sortie :
- Italie : (Mostra de Venise 2018)[4]
- Australie : (Festival du film d'Adélaïde) ; (sortie nationale)
- France : (festival Hallucinations collectives à Lyon) ; (sortie VOD sur OCS)
Distribution
[modifier | modifier le code]- Aisling Franciosi : Clare
- Sam Claflin : Hawkins
- Baykali Ganambarr (en) : Billy
- Damon Herriman : Ruse
- Harry Greenwood : Jago
- Ewen Leslie : Goodwin
- Charlie Shotwell : Eddie
- Michael Sheasby : Aidan
- Sam Smith : le fermier
- Matthew Sunderland : Davey
- Luke Carroll : Archie
Production
[modifier | modifier le code]Le tournage a commencé en Tasmanie en [5].
Accueil
[modifier | modifier le code]Critiques
[modifier | modifier le code]Pour Véronique Cauhapé du Monde, « il faut reconnaître que le deuxième long-métrage de Jennifer Kent parvient à révéler toute sa puissance, même sur plus petit écran. Une puissance qui amène le spectateur à une expérience physique (et mentale) d'une rare intensité. »[6].
Pour Olivier De Bruyn des Échos, « Cette fiction impressionnante et hypnotique mérite d'être découverte. [...] The Nightingale, en slalomant entre western contemplatif, fiction politique et précipité existentiel, impressionne grâce à sa poésie noire et à sa radicale singularité. »[7].
Récompenses
[modifier | modifier le code]- Mostra de Venise 2018 :
- prix Marcello-Mastroianni du meilleur espoir pour Baykali Ganambarr (en) ;
- prix spécial du jury pour Jennifer Kent.
- Festival Hallucinations collectives 2020 : prix du jury lyonnais de la compétition longs métrages
Notes et références
[modifier | modifier le code]- (en) « Biennale Cinema 2018 / The Nightingale », sur Biennale de Venise, (consulté le ).
- « Mostra 2018 : The Nightingale, la vengeance d'une femme », sur Radio-télévision belge de la Communauté française, .
- (en) Madison Feser, « ‘The Nightingale’ Is an Unflinching Portrayal of Colonial Australia », sur studybreaks.com, (consulté le ).
- (en) « Biennale Cinema 2018 – The Nightingale », sur Biennale de Venise (consulté le ).
- (en) Michael Nordine, « The Nightingale: Jennifer Kent Begins Production on Her Follow-Up to The Babadook », sur IndieWire, (consulté le ).
- Véronique Cauhapé, « The Nightingale, la vengeance d'une femme face à la barbarie coloniale en Tasmanie », sur Le Monde, (consulté le ).
- Olivier De Bruyn, « The Nightingale, la vengeance d'une femme », sur Les Échos, (consulté le ).
Liens externes
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- Sites officiels : www.causewayfilms.com.au/#!nightingale/k88ko et www.thenightingale.movie
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Ressource relative à plusieurs domaines :