Aller au contenu

Pellafol

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Pellafol
Pellafol
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Grenoble
Intercommunalité Communauté de communes de la Matheysine
Maire
Mandat
Thierry Joubert
2020-2026
Code postal 38970
Code commune 38299
Démographie
Population
municipale
135 hab. (2021 en évolution de −1,46 % par rapport à 2015)
Densité 3,9 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 47′ 51″ nord, 5° 54′ 22″ est
Altitude Min. 639 m
Max. 2 789[1] m
Superficie 34,73 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Matheysine-Trièves
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Pellafol
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Pellafol
Géolocalisation sur la carte : Isère
Voir sur la carte topographique de l'Isère
Pellafol
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Voir sur la carte administrative d'Auvergne-Rhône-Alpes
Pellafol

Pellafol est une commune française située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants sont appelés les Pellafolois.

Géographie

[modifier | modifier le code]
Pellafol, de l'Obiou aux rives de la Souloise (vue prise depuis Ambel).

Situation et description

[modifier | modifier le code]

La commune de Pellafol est située au sud-est du département de l'Isère, entre le massif du Dévoluy (au sud-ouest) et la vallée de la Souloise et du massif des Écrins (à l'est) et celle du Drac (au nord).

Le territoire de la commune comporte trois niveaux bien individualisés en allant de l'ouest et du sud à l'est et au nord : les pentes de l'Obiou, rocheuses nues dans leur partie haute (plus de 1 600 mètres) et boisées dans leur partie basse ; la plaine, ancienne plaine lacustre fluvio-glaciaire parfaitement horizontale (entre 900 et 950 mètres) constituant un vestige de l'ancien lac du Beaumont et recoupée par les rivières qui la bordent ; les pentes descendant vers la Souloise et le Drac, couches alluviales fortement ravinées.

Pellafol est légèrement à l'écart du Trièves côté ouest, et du Dévoluy côté sud, mais aussi séparé du Beaumont par le ravin du Drac. C'est cependant à ce dernier pays que Pellafol est rattaché administrativement et économiquement.

Sites géologiques remarquables

[modifier | modifier le code]

Le « sentier et éboulis froid de Pellafol et résurgence de la Grande Gillarde » est un site géologique remarquable. En 2014, il est classé « deux étoiles » à l'« Inventaire du patrimoine géologique »[2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 991 mm, avec 8,8 jours de précipitations en janvier et 5,9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 9,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 989,6 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Statistiques 1991-2020 et records PELLAFOL-CHANEAUX (38) - alt : 947m, lat : 44°47'03"N, lon : 5°54'22"E
Records établis sur la période du 01-01-1959 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −3,4 −3,2 −0,2 2,7 6,7 10,1 12,1 11,8 8,6 5,5 0,9 −2,3 4,1
Température moyenne (°C) 1 1,7 5,4 8,5 12,4 16,1 18,5 18,3 14,3 10,5 5,2 1,7 9,5
Température maximale moyenne (°C) 5,3 6,6 11 14,3 18,2 22,2 24,9 24,7 20 15,6 9,4 5,6 14,8
Record de froid (°C)
date du record
−23,5
07.01.1985
−20,5
12.02.1986
−18,5
01.03.05
−10,8
06.04.1970
−4,5
03.05.1979
0
01.06.1986
2,8
06.07.1965
2,4
26.08.1966
−1,5
30.09.1974
−6,5
29.10.12
−13,8
27.11.05
−22
27.12.1962
−23,5
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
18
27.01.16
22
28.02.1960
24
17.03.04
26
21.04.18
31,5
23.05.09
33,8
18.06.22
35,5
07.07.15
36,1
24.08.23
32
06.09.06
27,9
02.10.23
23,5
09.11.1985
19
24.12.12
36,1
2023
Précipitations (mm) 82,6 59,6 68,6 87,3 87,8 75,3 62,4 61,9 82,1 105,6 122,7 93,7 989,6
Source : « Fiche 38299001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Voies de communication

[modifier | modifier le code]

Corps, ancien chef-lieu du canton, est à 7 kilomètres de Pellafol par une route sinueuse mais praticable en toutes saisons. De là, Grenoble est encore à près de 75 minutes de route, et Gap à environ 50 minutes, l'un et l'autre par la route nationale 85.

La commune est traversée du nord au sud par deux routes en Y : la départementale 537 venant de Corps par le pont du Sautet, est rejointe près des Payas la départementale 66 venant de Mens par Châtel-en-Trièves, et de là monte vers le Dévoluy par le défilé de la Souloise.

Trois des communes limitrophes n'ont aucune voie de communication les reliant à Pellafol : Tréminis et Saint-Baudille-et-Pipet touchent Pellafol le long d'une crête dont aucun point n'est à moins de 2 400 mètres d'altitude, et Ambel est séparé de Pellafol par le lac du Sautet, sur lequel le pont le plus proche est situé à la hauteur de la commune de Monestier-d'Ambel (Pont du Mas) ; la distance des Payas à Ambel est de 2 kilomètres à vol d'oiseau mais 10 par la route.

Au , Pellafol est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9] et hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (82 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (21,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,4 %), terres arables (8,3 %), prairies (4,3 %), zones agricoles hétérogènes (2,8 %), eaux continentales[Note 1] (2 %), zones urbanisées (0,7 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques sismiques

[modifier | modifier le code]

L'ensemble du territoire de la commune de Pellafol est situé en zone de sismicité no 3, dite « modérée » (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes de son secteur géographique. Elle se situe cependant au sud de la limite d'une zone sismique classifiée de « moyenne »[13].

Terminologie des zones sismiques[14]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 3 Sismicité modérée accélération = 1,1 m/s2

Autres risques

[modifier | modifier le code]

Hameaux et lieux-dits

[modifier | modifier le code]

L'habitat de la commune est réparti en plusieurs hameaux éloignés les uns des autres, presque tous situés sur la plaine. Du nord au sud :

  • Les Payas, chef-lieu de la commune, où se trouvent la mairie, l'église de l'Assomption, le cimetière, un four banal, le monument aux morts et la Maison du Patrimoine ;
  • La Croix-de-la-Pigne, hameau très ancien, avec l'église Saint-Michel et son cimetière propres ;
  • La Javergne ;
  • Les Moras ;
  • Le Vieux-Pellafol, accroché sur le flanc descendant vers la Souloise (ancien chef-lieu de la commune) ;
  • Les Chaneaux ;
  • La Posterle, à la sortie sud de la plaine, où se trouvent la petite chapelle Notre-Dame de la Nativité et un cimetière.

Auprès du barrage du Sautet, des bâtiments liés à la centrale EDF forment encore un petit hameau.

L'histoire ancienne de Pellafol est liée à son ancien château fort.

Dans les années 2000, un projet de construction d'éoliennes est mené par Emmanuel Hostache et son père. Le projet, controversé, a abouti en et, depuis cette date, les deux éoliennes modifient le paysage des environs et produisent 3 MW au total.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs[15]
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1793 Joseph Lagier    
1793 1795 Pierre Boyer    
1795 1796 Jean-Jacques Grise    
1796 1798 Jean-Alexandre Benoit    
1798 1800 Joseph Gaymard    
1800 1803 Jean-Alexandre Benoit    
1803 1807 François Jamiel    
1807 1830 Jean Baptiste Aurouze    
1830 1835 Honoré Blanc    
1835 1838 Jean-Antoine Ripert    
1838 1840 Jean-Antoine Achard-Bayle    
1840 1842 Jean-Jacques Grise    
1842 1846 Jean-Louis Gaymard    
1846 1848 Joseph Reynaud    
1848 1849 Antoine Ripert    
1849 1865 Jean-Louis Gaymard    
1865 1870 Jean Isnard    
1870 1871 Jean-Louis Gaymard    
1871 1878 Joseph Ripert    
1878 1884 Sixte Florin Serrecombe    
1884 1888 Jean Arnaud    
1888 1900 Jean Gaymard    
1900 1904 Auguste Laurent    
1904 1908 Jean Gaymard    
1908 1917 Philippe Gagnaire    
1917 1925 Léon Arnaud   Conseiller municipal nommé maire par le Préfet en remplacement du maire démissionnaire et l'adjoint mobilisé ; élu maire en 1919
1925 1927 Adrien Michel    
1927 1935 Germain Comte    
1935 1939 Auguste Roux    
1939 1944 Daniel Odezenne   Conseiller municipal, remplace le maire et l'adjoint mobilisés
1944 1945 Auguste Roux    
1945 1947 Marius Laurent    
1947 1977 Ennemond Hostache    
1977 1985 Charles Basso    
1986 2008 Yves Moutin SE  
2008 2008 Jean Pierre Arneodo SE  
2008 2014 Agnès Robert SE  
2014 En cours Thierry Joubert SE Fonctionnaire

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[17].

En 2021, la commune comptait 135 habitants[Note 2], en évolution de −1,46 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
581584555655701678628679660
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
659664634567564583590584544
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
518478394392352438433394300
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
283245200152149137136138136
2021 - - - - - - - -
135--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

[modifier | modifier le code]

La commune est située dans l'académie de Grenoble.

Équipement sportif et culturel

[modifier | modifier le code]

Historiquement, le quotidien régional Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition de Romanche et Oisans, un ou plusieurs articles à l'actualité de la commune, de son canton, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales.

Secteur touristique

[modifier | modifier le code]
Le canal de Pellafol, taillé dans la falaise rocheuse du défilé de la Souloise.
  • Le barrage du Sautet avec le pont sur le Drac et le lac du Sautet.
  • Le sentier de découverte de l'association « Restauration des terrains en montagne » (RTM).
  • Les Grandes Gillardes, importantes exsurgences dans le défilé de la Souloise.
  • Le canal de Pellafol, creusé dans la falaise du défilé de la Souloise.
  • Les pentes de l'Obiou, les GR de pays dans les forêts domaniales de l'Obiou et de Pellafol, l'ascension de la Grande Tête de l'Obiou depuis le chalet des Baumes, etc...

Autres secteurs

[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Patrimoine culturel

[modifier | modifier le code]
La maison du patrimoine de Pellafol.

La Maison du patrimoine de Pellafol est un petit musée réalisé par une association locale[20] et situé au hameau « Les Payas » dans une ancienne maison récemment rénovée. On y trouve des témoignages et documents sur le pays de Pellafol :

  • Les métiers du bois de l’ancien temps (anciens outils datant du XIXe siècle) ;
  • Les métiers des champs au XIXe siècle ;
  • La vie quotidienne dans le village ;
  • La vie des enfants dans leurs écoles.

Mais aussi sur :

  • La catastrophe aérienne de l’Obiou de 1950 (il y a même une pièce de l’avion qui s'est écrasé) ;
  • Le barrage du Sautet (photos sur la réalisation du barrage).

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Héraldique

[modifier | modifier le code]

Pellafol possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Altitude du sommet de l'Obiou, limitrophe avec la commune de Châtel-en-Trièves.
  2. Inventaire du patrimoine géologique : résultats, Ministère de l'Environnement, de l'Énergie et de la Mer - DREAL Auvergne-Rhône-Alpes, 24 janvier 2014 (mis à jour le 31 mars 2015), accès le 23 septembre 2016.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Pellafol-Chaneaux » - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Pellafol-Chaneaux » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  9. Insee, « Métadonnées de la commune de Pellafol ».
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
  14. Arrêté du relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
  15. Mairie de Pellafol
  16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  20. Association du patrimoine Pellafol-Obiou, siège en mairie de Pellafol.

Sur les autres projets Wikimedia :

Lien externe

[modifier | modifier le code]