Montjoyer
Montjoyer | |||||
Abbaye d'Aiguebelle. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Nyons | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Enclave des Papes-Pays de Grignan | ||||
Maire Mandat |
Marc Guy 2020-2026 |
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Code postal | 26230 | ||||
Code commune | 26203 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Montjoyeriens, Montjoyeriennes | ||||
Population municipale |
278 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 15 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 28′ 38″ nord, 4° 51′ 10″ est | ||||
Altitude | Min. 200 m Max. 472 m |
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Superficie | 18,02 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Montélimar (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Grignan | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Montjoyer est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune est située à moins de vingt kilomètres au sud-est de Montélimar.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Espeluche | Rochefort-en-Valdaine La Touche |
Portes-en-Valdaine | ||
Allan | N | Aleyrac Salles-sous-Bois | ||
O Montjoyer E | ||||
S | ||||
Réauville | Réauville Grignan |
Grignan |
Relief et géologie
[modifier | modifier le code]Sites particuliers :
- Montagne de la Série
- Mont Lucé (458 m)
- Rocher de la Brunelle
- Serre Blandine (384 m)
- Serre Colon (439 m)
- Serre de Grillard (383 m)
- Serre de la Coude (373 m)
- Serre du Fraysse
- Serre du Grey (390 m)
- Serre du Rang
- Serre Gros (454 m)
- Serre Haute
Le Col de Serre Colon (434 m) a été classé en 4e catégorie lors de la 5e étape du Tour de France 2020[réf. nécessaire].
Géologie
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est arrosée par les cours d'eau suivants :
- la Vence
- Ravin d'Allan
- Ravin de Chambaran
- Ravin de Gorne Guille
- Ravin de Maussant
- Ruisseau de Citelles
- Ruisseau de Flamenche
- Ruisseau de la Vignasse
- Ruisseau du Rang
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 920 mm, avec 6,5 jours de précipitations en janvier et 4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montboucher-S-Jabron »sur la commune de Montboucher-sur-Jabron à 9 km à vol d'oiseau[3], est de 13,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 915,0 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Montjoyer est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montélimar, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[8]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (71,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (71,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60,8 %), zones agricoles hétérogènes (27,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,3 %), zones urbanisées (1,6 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
[modifier | modifier le code]Quartiers, hameaux et lieux-dits
[modifier | modifier le code]Site Géoportail (carte IGN)[12] :
- Blache Brune
- Bois de Barre
- Cîtelles
- Combe Lairon
- Combe Veyrer
- Destay
- Flamenche
- Fond de la Paume
- Grange d'Eymard
- Hauthueche
- la Bédigasse
- la Benoite
- la Calmette
- la Coude
- le Chênevier
- le Fangeas
- le Fau
- le Fraysse
- le Freyssinas
- l'Égoutier
- les Alliers
- les Combes
- les Faures
- Monastère de la Trappe d'Aiguebelle
- Ourlin
- Pastelles
- Pont de la Laugie
- Pré Lacard
- Saint-Basile
- Saint-Étienne
- Saint-Pierre (chapelle)
- Terre Bodoin
- Terre de Vialle
- Tour de Mont Lucé
- Turlier
- Vire Vieille
Anciens quartiers, hameaux et lieux-dits :
- l'Aillier est un hameau attesté en 1891[13].
Logement
[modifier | modifier le code]Projets d'aménagement
[modifier | modifier le code]Risques naturels et technologiques
[modifier | modifier le code]La commune de Montjoyer a été touchée par des tremblement de terre d’intensité V-VI sur l’échelle MSK en 1873 et 1934[14]. Un essaim de séismes se produit dans l’été 1873[15] ; un autre a lieu à partir du 1er mai 1934[16].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Attestations
[modifier | modifier le code]1077 : in campo Montis Jugerii[17].
Dictionnaire topographique du département de la Drôme[18] :
- 1280 : Montjouier et Montjuier (ann. d'Aiguebelle, I, 1165).
- 1281 : Montjuere (archives des Bouches-du-Rhône, B 877).
- 1447 : Monsjuerii (archives des Bouches-du-Rhône, B 548).
- 1476 : apud Montem Juherii (Long, notaire à Grignan).
- 1486 : syndicus Montisjuerii (archives d'Aiguebelle).
- 1640 : Montjeuyer (archives de la Drôme, E 5831).
- 1758 : Montjuyer (archives de la Drôme, E 5829).
- 1891 : Montjoyer, commune du canton de Grignan.
Étymologie
[modifier | modifier le code]La première partie du toponyme provient du latin mons « montagne, mont, élévation » qui peut désigner une simple colline en pays de plaine.
Il y a plusieurs hypothèses pour la deuxième partie :
- Elle dériverait du latin jugerum « jugère, surface cultivable délimitée par la cadastration romaine » (cf. Pline l'Ancien (23-79), Histoire naturelle, 18, 3, 9)[17].
- Moins sûrement, du latin jugum qui a le sens figuré (chez Cicéron[19]) de « hauteur, cime »[17].
Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire et protohistoire
[modifier | modifier le code]Antiquité : les Gallo-romains
[modifier | modifier le code]La tour de guet de Montlucet est d'origine romaine[20].
Du Moyen Âge à la Révolution
[modifier | modifier le code]La seigneurie[18] :
- Au point de vue féodal, Montjoyer était une terre (ou seigneurie) des seigneurs de Rochefort.
- 1137 : elle est donnée aux abbés d'Aiguebelle par Gontard Loup, seigneur de Rochefort.
- 1280 : les abbés cèdent une partie de leurs droits aux comtes de Provence mais conservent le domaine utile jusqu'à la Révolution.
En 1137, la terre est donnée par Gontard Loup, seigneur de Rochefort, aux abbés d'Aiguebelle[21].
Le village serait né au XVe siècle à partir de la grange (exploitation agricole) de l'abbaye cistercienne voisine d'Aiguebelle[réf. nécessaire].
En 1759, le bourg de Montjoyer est échangé par Louis XV contre des terres contiguës au parc du château de Versailles[20].
Avant 1790, Montjoyer était une paroisse du diocèse de Saint-Paul-Trois-Châteaux et de la communauté de Réauville, appelée aussi la Grande Terre. Elle était située en Dauphiné bien que Réauville soit en Provence. Son église était dédiée à saint Paulin et ses dîmes appartenaient à l'abbé d'Aiguebelle qui présentait a la cure[18].
Aiguebelle
[modifier | modifier le code]Dictionnaire topographique du département de la Drôme[22] :
- 1160 : ecclesia Sanctae Mariae de Aquabella (Histoire du Languedoc, VI, 492).
- 1298 : monasterium Aquae Bellae (ann. d'Aiguebelle, I, 469).
- 1499 : abbatia Beatae Mariae de Ayguebella (ann. d'Aiguebelle, I, 556).
- 1496 : Aygabelle (archives de la Drôme, E 3380).
- 1601 : Aguebelle (ann. d'Aiguebelle, I, 576).
- 1891 : Aiguebelle, abbaye de religieux cisterciens dits trappistes.
Avant 1790, Aiguebelle était une abbaye de l'ordre de Cîteaux, fondée en 1137, relevant de celle de Morimond. L'abbé était seigneur temporel du lieu. Le monastère a été restauré en 1816.
De la Révolution à nos jours
[modifier | modifier le code]La paroisse de Montjoyer a fait partie de la commune de Réauville jusqu'au 11 juin 1840, date à laquelle elle a été érigée en commune distincte du canton de Grignan[18].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendance politique et résultats
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Le conseil municipal est composé de deux adjoints et de huit conseillers municipaux[23][source insuffisante].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Politique environnementale
[modifier | modifier le code]Finances locales
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1846. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].
En 2021, la commune comptait 278 habitants[Note 2], en évolution de +3,73 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Services et équipements
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.
Santé
[modifier | modifier le code]Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Loisirs
[modifier | modifier le code]Sports
[modifier | modifier le code]Médias
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune se situe dans l'aire de diffusion de plusieurs médias :
- Pour la presse écrite
- Le Dauphiné libéré, quotidien régional qui consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition de « Romans et Drôme des collines » un ou plusieurs articles à l'actualité du canton et de la commune, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.
- L'Agriculture Drômoise, journal d'informations agricoles et rurales, couvre l'ensemble du département de la Drôme.
- Drôme Hebdo (ancien Peuple Libre), hebdomadaire chrétien d'informations.
- Pour la presse audio-visuelle
- France Bleu est une radio publique diffusée sur son territoire.
Cultes
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]En 1992 : pâturages (ovins), lavande, céréales, amandiers[20].
- Produits locaux : liqueurs, eau de toilette, gelée royale[20].
Tourisme
[modifier | modifier le code]Revenus de la population et fiscalité
[modifier | modifier le code]Emploi
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Tour de guet de Montlucet : origine romaine, verrerie au Moyen Âge, puis château fort[20].
- Le donjon carré de Montlucet, au nord-est de Montoyer, était entouré d'une enceinte polygonale aujourd'hui ruinée et appartenait aux comtes de Provence[21].
- Restes de remparts : ruelle voûtée et porte gothique[20].
- La Calmette, maison forte restaurée, située au pied de la Tour de Montlucet. L'ensemble d'habitation comprend une grande tour carrée construite à la fin du XVe siècle[réf. nécessaire].
- Fontaine Saint-Joseph[20].
- Église Saint-Paulin (XIXe siècle) : fresques[20].
La trappe d'Aiguebelle
[modifier | modifier le code]Ancienne abbaye cistercienne du XIIe siècle : transept et abside du XIIIe siècle, restaurée en 1815[20].
L'abbaye a conservé la plupart de ses bâtiments médiévaux. Elle abrite une trentaine de moines cisterciens[réf. nécessaire].
Patrimoine culturel
[modifier | modifier le code]- Musée de la mémoire agricole[28] à côté de l'abbaye.
Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]- Abris sous roche à Malacombe[20].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique, logotype et devise
[modifier | modifier le code]Blason | Une balance; une filière[29]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Montjoyer et Montboucher-sur-Jabron », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Montboucher-S-Jabron », sur la commune de Montboucher-sur-Jabron - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Montboucher-S-Jabron », sur la commune de Montboucher-sur-Jabron - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Montélimar », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- https://www.geoportail.gouv.fr/
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 3 (L'Aillier).
- Daniel Ratz, Les tremblements de terre en Drôme-Ardèche, Valence : Éditions & Régions, 1998,2-910669-41-6, p. 80.
- Ratz, op. cit., p. 18.
- Ratz, op. cit., p. 29
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France.
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 231 (Montjoyer).
- « Jugum • Dictionnaire Gaffiot latin-français », sur lexilogos.com (consulté le ).
- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Montjoyer.
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du Moyen-Âge en France, Strasbourg, Publitotal, , 1287 p. (ISBN 2-86535-070-3).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 2 (Aiguebelle).
- Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Aurélien Tournier, « A la découverte des outils d’antan », L'Agriculture Drômoise, (lire en ligne, consulté le ).
- « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Michèle Bois et Chrystèle Burgard, Fortifications et châteaux dans la Drôme, éditions Créaphis, 192 pages, 2004.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Montjoyer sur le site de l'Institut géographique national / page archivée depuis 2007.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Navigation : La carte de Cassini, XVIIIe siècle, section de Vaison », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales.