Post de Saint-Gobain Football Cup

Quand l’État vous empêche de vivre votre passion et de travailler… c’est trop ! Avec mes amis Geoffrey Brachet, Bérénice Fabbro et Thomas Benassy, nous avons mis tout notre cœur à créer deux magasins à Nice. Depuis trois ans, notre seul objectif a été de partager des bons moments authentiques et conviviaux avec nos clients. Nous avons mis un point d'honneur à offrir des produits de qualité et à créer un espace où l’on se sent bien. Nous n’avons jamais été du genre à faire des vagues. Jamais. Notre quotidien est simple : se lever, travailler, recommencer. Nous préférons nous concentrer sur notre travail et la satisfaction de nos clients, loin des conflits et des tensions. Mais aujourd’hui, il est impossible de rester silencieux face à ce qui nous arrive. C’est trop ! L’État nous empêche de travailler, et ce n’est pas acceptable. Après les événements survenus lors du match OGC Nice - Saint-Étienne, la préfecture nous impose une fermeture de 15 jours, à la veille des fêtes de fin d'année, au nom de la préservation de l'ordre public. Mais attendez, de quoi parle-t-on ? On nous reproche quoi, exactement ? D’avoir l’audace d’offrir un lieu de convivialité à côté d’un Stade comme ce qu’il se fait partout dans le monde? D’avoir un commerce qui fonctionne ? Nous avons tout fait pour travailler main dans la main avec les autorités : mesures préventives renforcées, huissiers pour prouver qu’aucun trouble n’a été causé.  Et pourtant, malgré cela, on nous ferme deux semaines ! Deux semaines pendant lesquelles nous perdons 4 matchs à l’Allianz Riviera et les premiers jours de Noël, période cruciale pour notre activité. Tout ça, alors qu'on n’est ni responsables, ni coupables de quoi que ce soit ! Cette décision est injustifiée et disproportionnée. On est des commerçants, on fait notre travail, on respecte les règles. Et voilà comment l’État nous récompense en nous clouant le bec. Face à cette situation, et face à l’absence totale de dialogue constructif avec la préfecture, nous n’avons d’autre choix que de porter cette affaire devant le juge administratif. Je me permets donc de vous solliciter : soutenez-nous en signant cette pétition. Parce qu’aujourd’hui, c’est notre avenir qui est en jeu. Et demain, cela pourrait bien être le vôtre. #Injustice #Commerçants #Soutien #LibertéDeTravailler #Nice

Aidez-moi à booster La Fugue de Roselle chez nos partenaires B2B ! Livrer mes concentrés d’hibiscus chez des cavistes et épiceries fines, c’est une étape clé. Mais une fois les bouteilles posées sur les étagères, un nouveau défi commence : comment dynamiser les ventes sur place ? Au-delà des traditionnels flyers ou PLV, quels leviers innovants ou stratégies efficaces avez-vous déjà testés ou vus en action pour capter l’attention des clients et maximiser les ventes ? Votre expérience, vos idées et même vos anecdotes peuvent être précieuses ! Alors, à vous de jouer : quelles solutions proposeriez-vous pour que La Fugue de Roselle devienne le choix incontournable chez nos partenaires ? 🍹💡 -------------------------- Abonne-toi : bientôt un bon de réduction spéciale 100 premiers followers Je suis Yves Romuald OUEDRAOGO Le parrain de La Fugue de Roselle

Les JO sont finis, place à la Mission pas si Impossible : les surstocks ! Les feux d'artifice de la cérémonie de clôture se sont éteints, mais pour beaucoup d’entreprises, une mission commence tout juste : gérer les millions de produits dérivés créés pour les Jeux Olympiques. T-shirts, bobs, ballons, drapeaux, et autres souvenirs, ce sont plus de 10 millions de produits qui ont été conçus pour l’occasion. Mais pas besoin d’un Tom Cruise pour sauver la situation !  Chez Done, on a la solution : le don. En moins de 10 jours, nous vous aidons à revaloriser vos stocks en les redistribuant à l’une de nos 1730 associations partenaires. Logistique, traçabilité, et une réduction d’impôt jusqu’à 60% de la valeur des dons : tout est pris en charge ✅ Transformez ces invendus en une opportunité RSE concrète !  Prêt à relever le défi ? #done #invendus #profitingiving #Paris2024

Indignation et incompréhension : le V and B Nice stade doit resté fermer. Vendredi matin, nous étions convoqués devant le juge administratif pour une audience en référé suspension. Une lueur d'espoir renaît : celle de rouvrir avant la fin de cette fermeture imposée, à temps pour les deux derniers matchs à l'Allianz et le début des fêtes de fin d'année. Plaidoirie irréprochable de notre avocat qui avec un 5ième rapport d'huissier démontre que le match de la veille contre Glasgow a provoqué davantage de troubles alors même que nous étions fermés. Il n'y a aucun doute : nous ne sommes pas responsables, ni même à l'origine des troubles à l'ordre public qui nous sont reprochés. Le représentant de la préfecture, de son côté n'a aucun élément supplémentaire à apporter au dossier : un simple rapport ne faisant aucun lien de causalité en main et nos chiffres d'affaires sous les yeux, il ose prétendre que 15 jours de fermeture ne mettent pas en danger notre entreprise. Quelle entreprise peut se permettre au bout d'un an d'activité de se priver de 15 jours de chiffre d'affaires sur une période cruciale telle que Noël ? Nous avons 1 an d'activité, nous avons mis nos vies, nos économies dans ce projet ; nos week-ends, nos vacances, nos soirées, nos familles, notre vie sociale entre parenthèse pour faire fonctionner ce magasin et aujourd'hui, on vient nous empêcher d'exploiter sous prétexte que "ce n'est pas grave, 15 jours de fermeture ne mettent pas en péril la société". Nous sommes lundi et le verdict tombe, c'est la douche froide : le juge refuse la requête en référé suspension. On ne pourra pas rouvrir avant la fin de la période de fermeture car il n'y a pas de caractère "d'urgence" dans cette affaire et le juge ne peut pas se prononcer sur le doute sérieux de la légalité de la décision... Alors on va patienter et attendre que la juridiction juge l'affaire sur le fond. Mais après cela...? Que va-t-il se passer ? Les supporters ne vont pas disparaître des alentours du stade les jours de matchs. Nous sommes donc destinés à subir des fermetures administratives régulières ? Comment voulez-vous qu'une entreprise survivre à cela ? Quelle image le client va avoir de nous ? Comment réussir à le fidéliser sans être sûr d'être là demain ? Effectivement ce préjudice n'est pas financier dans l'immédiat, mais je vous assure qu'il met bien en péril notre société... La justice peut réellement laisser une préfecture empêcher un commerce qui a toutes les autorisations d'exercer son activité ? Il nous reste une solution : le conseil d'Etat, mais avons nous vraiment envie de dépenser de l'énergie dans un combat qui semble perdu ? La pétition est encore disponible et sera un argument supplémentaire pour la requête en annulation qui jugera le fond de la décision : https://lnkd.in/drGiHAgV Je n'arrive pas à y croire. Je suis dépitée, désabusée.

🎉Nouvelle formule Notre Temps, disponible le 7 octobre🎉 Pour célébrer ce lancement, nous proposons au réseau presse un challenge exclusif avec de magnifiques cadeaux à gagner ! 🎁 👉 Rendez-vous sur l'application L'agence Direct-éditeurs pour découvrir comment participer et tenter votre chance ! Restez connectés, on a hâte de vous retrouver le 7 octobre ! 🚀 #Notretemps #challenge #nouvelleformule #concours

Hâte d'en savoir plus ! C'est qui le Patron ?! La Marque du Consommateur est une formidable réussite de Création de Valeur Partagée (intégration à l'offre d'une solution à un besoin sociétal, Porter & Kramer). La démonstration qu'un modèle alternatif - soulageant la détresse d'éleveurs laitiers en proie à des pratiques commerciales agressives, dans un système non soutenable - est possible et même viable. Egalement une réelle opportunité, pour celles et ceux qui peuvent se le permettre, et dont j'ai la chance de faire partie, de se positionner en consomm'acteur responsable. En ajoutant simplement quelques centimes au prix de votre brique de lait ou de votre plaquette de beurre, on soutient concrètement un secteur de l'agriculture qui en a grand besoin.

Bonne lecture à vous dirigeants dirigeantes des TPE/PME. WiiSmile la solution RH qui fait toute la différence pour vos collaborateurs 😁

Comment ils peuvent jouer avec la loi

Ils jettent leurs gobelets pourtant consignés 1 euros, ils n'ont rien compris! Voilà ma première réaction lors d’un concert en plein air. Mais vu de plus près, l’organisation ne leur a pas facilité les gestes de recyclage. Voici les 2 raisons : 1 / Plusieurs bars, plusieurs caisses, mais une seule pour le retour des consignes. = Gros embouteillages garantis. 2 / Et surtout, pas de retour de gobelets sans le fameux ticket remis lors de l'achat !!! Du coup, de nombreux spectateurs impatiens s’en débarrassent, souvent directement au sol. Mais pire encore : j’ai vu un groupe de jeunes ayant collecté plein de gobelets jetés, se faire refuser la petite rétribution qu’ils imaginaient. Et oui, ils ne possédaient pas les tickets. Dommage, ils avaient trouvé là un moyen de se faire un petit billet sur le dos de gens pressés. Et accessoirement un "eco geste". Et en bonus surréaliste : les jeunes, vexés, se sont débarrassés des gobelets dans la poubelle !! Cette petite histoire m’a rendu perplexe. Je ne sais pas qui mérite la palme, l’orga ou les jeunes? Sans doute les deux. PS : en suggestion pour améliorer le taux de retour. * Une consigne est une consigne, peut importe le porteur. * Multiplier les points de retours, pensés par rapport aux flux de vente. #recyclage #economiecirculaire

Noooooooon !!!! Déjà ??? Et si !!! Comme cela fit déjà un mois qu'on nous bassine avec les films de Noël à la télévision, que les jouets sont installés dans les rayons des grandes surfaces, et qu'on nous invite déjà à commander chapons et foies gras, nous nous sommes dits pourquoi pas anticiper un peu le lancement de notre campagne d'adhésions 2025. Ce début de campagne anticipé s'adresse essentiellement à tous ceux qui ont "oublié" de renouveler leur adhésion en 2024, et à tous ceux qui voyant que nous étions en difficulté se sont dits : "Urgences Patrimoine c'est mort, donc à quoi bon adhérer". C'est vrai, 2024 a été une année très difficile, mais le combat continue et c'est la raison pour laquelle vos adhésions sont importantes. Certes, ce ne sont pas les 10 euros d'une adhésion qui peuvent financer nos recours, mais si nous sommes en mesure d'afficher un nombre d'adhérents important, cela donnera encore plus de poids à nos actions, et renforcera notre crédibilité. En 2024, vous avez été 500 à faire ce geste. Certes, cela aurait pu être pire, mais ce n'est pas suffisant. Évidemment, nous ne pouvons pas vous promettre de gagner tous nos combats, mais nous vous promettons de faire notre maximum, surtout si vous êtes nombreux à vous engager à nos côtés. Alors pour adhérer, ou pour renouveler votre adhésion, cliquez: https://lnkd.in/euQQPG_F Ah oui ! À la différence des films de Noël, Urgences Patrimoine c'est quand même moins soporifique, et contrairement au foie gras, adhérer ne fait pas grossir ! 😅