🚴♂️ Tout au long du parcours de ce #TourdeFrance 2024, les paysages de France Télévisions nous ont montré de nombreuses éoliennes installées sur le territoire français.
📑 Faisons donc un point sur les ressources minérales nécessaires à cette technologie de la transition énergétique.
➡ Si l’on part de la base, il faut déjà du béton pour ancrer le mat dans le sol. On parle ici d’environ 600 mètres cubes par éolienne.
➡ Pour les éoliennes en mer, c’est un peu plus complexe. Différentes techniques existent nécessitant soit des structures fixes métalliques (ou en béton armé) qui viennent se planter directement dans le fond marin lorsque celui-ci n’est pas très profond, soit des structures métalliques flottantes ⚓ pour les plus gros modèles installés au large.
➡ Il existe même des flotteurs en béton comme ceux développés par BW Ideol.
➡ Viennent ensuite le mat, la nacelle et la turbine : ils doivent être solides et résistants à la corrosion 🛡. Pour cela, on utilise des aciers spéciaux : outre le fer, un large éventail de métaux critiques tels que le nickel, le molybdène, le manganèse et le chrome sont utilisés dans les aciers de la structure. Chacun apportant des propriétés spécifiques.
➡ L’aluminium est également un composant important des alliages de la nacelle et de la turbine puisqu’il allège la structure. L’aluminium peut aussi être utilisé comme composant des câbles électriques, en substitution du cuivre.
➡ Le cuivre est en effet présent un peu partout dans l’éolienne et autour, constituant des câbles électriques qui vont relier la turbine, lieu de production de l’électricité au réseau électrique national ⚡.
➡ Différentes technologies d’éoliennes existent et une part importante fait appel à des aimants permanents pour générer l’électricité par rotation 🔄 des pales. Les terres rares (néodyme et dysprosium) et le bore, d’autres substances critiques, sont essentielles dans ces aimants permanents.
➡ Mais ces ressources minérales utilisées pour construire des éoliennes nous permettent de produire, en France, notre propre électricité bas carbone, un point essentiel pour réussir notre transition écologique 🌱.
Et le vent dans le cyclisme ? 💨🚴♂️
➡ Lorsque souffle un vent latéral ↗ et que la route est dégagée, le peloton peut être soumis à une formation de bordure. Le vent latéral limite l’effet d’aspiration du peloton et les coureurs ne peuvent compter que sur leur coup de pédale 😤 pour rester dans la roue du vélo de devant.
➡ Ce phénomène, s’il dure, provoque des cassures au sein du peloton. Le groupe de tête est séparé du reste du peloton 🚴♂️ ↔ 🚴♂️, et si cela se produit à quelques kilomètres de l’arrivée… c’est la victoire 🏆 qui peut se jouer... sur un coup de vent 💨.
Nordex, QHSE Manager Belgium
1 sem.C’est génial comme idée, mais malheureusement irréaliste en termes de sécurité 😉 Au delà de 20m/s ça risque de secouer un peu pour dormir 😂