Post de Association LAZARE

#Besançon #ConseilMunicipal #Citadelle 💬 « Il est temps d’adopter un projet ambitieux pour la Citadelle de Besançon » Comme beaucoup de Bisontins, je reste dans l’incompréhension face au choix de la maire de Besançon d’éteindre la Citadelle de Besançon. La Citadelle de Besançon n’est pas un site anecdotique, c’est l’emblème de Besançon, notre joyau, l’héritage de notre histoire inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO. La municipalité de Besançon n’a pas mesuré qu’éteindre la Citadelle, c’était éteindre Besançon. Nous avons récemment appris dans la presse locale qu’un nouvel éclairage serait installé au plus tôt dans 2 ans. La Citadelle aura été plongée 6 ans dans le noir ! Nous apprenons également qu’il y aura tout une liste d’exceptions. La municipalité indique que la Citadelle sera éclairée 2 heures après le coucher du soleil. Au mois de juillet, le coucher du soleil est à 22 heures, ce qui signifie que la municipalité envisage d’éclairer la Citadelle à partir de minuit, soit quand tout le monde dort ! Ce projet n’est pas à la hauteur du caractère patrimonial et emblématique de la Citadelle. Comme le dit la Chambre régionale de la Cour des comptes dans son rapport : « il est temps d’adopter un projet stratégique ambitieux pour la Citadelle. ». www.laurentcroizier.fr – 29/11/2024

🚀Si la relance du commerce et de l’attractivité des centres villes vous intéresse… 📽️… je vous invite à visionner cette instructive, réjouissante et courte vidéo sur Toulon, que PASCALE ROBERT avait pris le temps de me faire visiter en juin dernier. Félicitations à la Ville de Toulon, à ses partenaires et particulièrement au Groupe Sebban pour leur pugnacité et ces réalisations remarquables.🏆 J’échangeais encore ce matin avec Sebastien DE HULSTER, de BELLEVILLES, sur l’indispensable échange d’expérience et de bonnes pratiques que nécessitent ces projets multipartites, longs, complexes, et aux équations économiques délicates. Nous évoquions également les besoins de formation des acteurs de terrain, et l’action en première ligne des élus et des maires, car l’attractivité d’une ville ne se résume pas à celle de son commerce. Elle requiert de travailler à bien d’autres facteurs, comme il est justement dit dans cette vidéo, qui ne peuvent être du seul ressort des acteurs du commerce. Centre-Ville en Mouvement, Club des Managers de Ville et Territoire, ANCTerritoires, FNCV - Vitrines de France, Banque des Territoires et bien d’autres organisations sont engagées en ce sens, mais elles doivent pouvoir continuer à compter sur la pleine mobilisation de l’Etat et des collectivités. Par exemple pour la pérennisation des financements des managers de centre-ville ou de territoires… Sujets à suivre dans la perspective de la journée de travail promise par notre ministre Olivia Gregoire sur le thème du commerce de centre-ville ! Michaël Sebban Christophe BARASTON Myriam Trabelsi Sylvain Maisonneuve Jean Pierre Lehmann

🐜 Et si l'envisageait autrement la relation décrite par La Fontaine entre la cigale et la fourmi ? Si aujourd'hui les fourmis étaient au service de l'envol des cigales, histoire qu'elle aillent chanter toujours un peu plus haut ? 😊 Si vous souhaitez vous tenir au courant de notre actualité, suivez notre page.

15 avril 2019. Les flammes s’éteignent enfin, laissant derrière elles un silence pesant. Le lendemain, lorsque les cordistes de JARNIAS franchissent pour la première fois les portes de Notre-Dame, ils découvrent un spectacle de désolation.   Le toit effondré, les voûtes fragilisées, un trou béant laissant la lumière filtrer sur des amas de débris et de cendres. Le contraste entre la majesté passée et la destruction présente était saisissant.   Pour Emmanuel Monteiro, cordiste chez JARNIAS, ce moment restera gravé : "En regardant autour de moi, j’ai senti la fragilité du monument. Mais très vite, cette désolation s’est transformée en une certitude : nous avions un rôle à jouer."   Un mélange d’émotion et de responsabilité : - Le choc initial : voir un chef-d’œuvre millénaire réduit à un état aussi vulnérable. - L’urgence : chaque minute comptait pour sécuriser les parties encore intactes. - La détermination : agir rapidement pour protéger l’édifice, et permettre à la reconstruction de commencer.   Les experts de la hauteur ont su transformer cette émotion en action. Installation de filets de sécurité, pose de bâches, stabilisation des structures : chaque intervention avait pour but de préserver ce symbole universel.   Aujourd’hui, alors que Notre-Dame rouvre ses portes, nous sommes immensément fiers de nos collègues qui ont réussi leur pari : sauver la Cathédrale, et préserver l’avenir, aux côtés des hommes et des femmes présents sur ce chantier avec eux depuis le début.   Bravo JARNIAS, bravo GROUPE JARNIAS, et bravo à toutes les femmes et tous les hommes qui ont reconstruit Notre-Dame ! 👏  #NotreDame #patrimoine #sécurisation

MARDI 14 MAI 2024   Wassim kamel akram mahfouz 14 Rue de la Verrerie, 92190 Meudon   Quomme, pour un escalier, qui mène vers le ciel, ouvrir, les yeux devient une mission, pour un mètabolique, de femme, arrachè, de leurs, grande ègo, mais pas que des hommes aux ègos de fourmies rouge, rempes les dèsèrts, occidantaut, en tant qu’une grande partision, de leurs grands- mange-bec, serre la couverture, de l’air qu’il resprires, une misochimie, du grand parcourt, des antècèdants, du gouvernement, qui choisirait, l’entante, entre cherchè, à passè les dèsinsectiçides, à la plaçe, du grand rapport, internal, que rèarrange le plut grand nombre, de soçiètès sans succès, il se peut, qu’une grande malentante, entre envergure, et mal-mise, se soit prolèfèrè aux grandes pôches, des immobilistes, qui souhaite, être requonnu, quomme macros – de rues, ou même à çe qui s’enchêne des ambules, de prèsentateurs, partis, en baguettes, sur çe que l’ètat devrait distribuè, un grand nombre, sur le marchè s’appel les mixtapes, des grands-mamans, qui chagrîne les jobs, quomme pour une pention, de maladie, ils s’enregistre, aux grands confront, de vouloir, accèdès aux marchès, des debardants, du vinghtième siècle, quomme pour une èconomie, dèsantèrrè, entre, rechercheurs, de soifs, et des rechercheurs, de manque pote, Il se peut qu’en grande forme, qu’on soit çent mille annèe en retard, pour le train qui enmmène vers, verkouzi, un grand-dommage.

Qu'en pensez vous? La réouverture de la cathédrale Notre-Dame de Paris, après plus de cinq ans de reconstruction, est un événement symbolique et culturel majeur pour la France et le monde entier. Cependant, la mise en place d'un dispositif de sécurité exceptionnel, inspiré des JO, soulève des questions sur la nécessité de telles mesures dans un contexte économique difficile, où la dette publique est élevée et où certaines catégories de la population continuent de bénéficier de privilèges. D'un côté, on peut arguer que la sécurité des événements de grande envergure est indispensable, surtout dans un contexte de menace terroriste élevée. La protection des chefs d'État et des milliers de visiteurs, ainsi que la préservation de l'image de la France sur la scène internationale, justifient des mesures de sécurité rigoureuses. La cathédrale, en tant que monument emblématique, attire non seulement des touristes, mais aussi des citoyens qui souhaitent célébrer la culture et l'histoire française. Dans ce sens, la réouverture de Notre-Dame peut être perçue comme un acte de résilience et de renaissance, renforçant le sentiment d'unité nationale. D'un autre côté, la question de la dépense publique et de la gestion des ressources dans un pays endetté ne peut être ignorée. Les coûts associés à un tel dispositif de sécurité, ainsi que les fermetures de commerces et de transports, peuvent sembler disproportionnés, surtout lorsque l'on considère les défis économiques auxquels de nombreux citoyens font face. De plus, la perception d'un traitement privilégié pour certains événements, alors que d'autres secteurs, comme la santé ou l'éducation, manquent de financements adéquats, peut engendrer des frustrations au sein de la population. En conclusion, bien que la sécurité lors de la réouverture de Notre-Dame soit justifiée par des raisons de protection et de prestige national, il est essentiel de trouver un équilibre entre ces mesures et les réalités économiques du pays. La question de savoir si de telles dépenses sont indispensables dans un contexte de dette importante mérite une réflexion approfondie, afin de garantir que les priorités nationales servent l'ensemble de la population, sans créer de disparités.

⚡️PDR N°10 : Le dixième numéro du journal participatif du Port du Rhin qui n’a peur de rien est sorti ! ⚡️ ☝️Sous la forme d'un poster à déplier, ce journal saisonnier communique sur les aménagements urbanistiques du Port du Rhin et offre un espace d'expression aux acteurs et habitants du quartier ! ___ Le numéro printanier de PDR a pour thématique la mémoire du quartier, surtout historique. Dans ces pages, nous observons notamment avec attention quelques images d’archives de l’union de coopérateurs née en 1902 que l’on nommera plus sobrement Coop Alsace. Une utopie économique et sociale qui est devenue réalité. Pour la réalisation de ce journal qui n’a Peur De Rien, deux ateliers ont été menés au Club seniors, toujours aussi haut en couleurs et riche en souvenirs amusants, émouvants, palpitants. ➡️ Un projet réalisé pour SPL Deux-Rives Strasbourg en collaboration étroite avec le BIG — Bureau d'Intervention Graphique et le collectif TERRAINS VAGUES - atelier graphique, rédaction en chef Emmanuel Dosda ! #edition #editorialdesign #media #mediadequartier #mediation #journal #poster #participatif #chicmedias #chicmediaseditions #strasbourg

en train, bus ou vélo on ne voit pas ce genre de panneau inutile d'ailleurs. Investissons plutôt dans les mobilités douces et durables (train), car l'investissement est depuis des decennies scandaleusement asymétrique vers la route, son individualisme, ses multiples pollutions et impacts sur le climat. Réservons la route à ceux qui en ont *vraiment* besoin, et pas à un modèle de société de surconsommation. Sources: https://lnkd.in/e38cRFtx https://lnkd.in/eEQuy4f9

Laisser une place gratuite à l’intériorité. Henri de Beauregard sur la proposition de faire payer l’entrée des cathédrales (sur X): une proposition choquante. Choquante au plan historique. Cathédrales et églises ont été confisquées en 1789, puis gardées en 1905 contre la promesse de leur entretien et de leur mise à dispo gratuite. L'État doit tenir sa promesses. Choquante au plan juridique, car l’article 17 de la loi de 1905 dispose expressément que "la visite des édifices ne pourra donner lieu à aucune taxe ni redevance". Choquante au plan culturel. Cathédrales et églises ont été conçues comme de véritables musées du pauvre, pour proposer la foi bien-sûr, mais aussi pour offrir la culture au plus grand nombre : architecture, peinture, iconographie, sculpture, ébénisterie. Choquante au plan identitaire. Les saints représentés dans les églises et cathédrales, Guirec ou Bonnaventure, les matières et les essences utilisées disent l’histoire et la géographie de nos villes et de nos villages. Et on ne fait pas payer l’accès à ses origines. Choquante au plan politique. Quoiqu’on en dise, l’État et les communes ont les moyens d’assumer ce patrimoine. C’est affaire d’arbitrages politiques. Les monuments historiques, c’est 3% du budget de la culture quand la transmission devrait être sa 1ère obligation. Choquante au plan économique. Cathédrales et églises rapportent certainement plus qu’elles ne coûtent… Qu’est-ce qui fait vivre Vézelay ou Tréguier ? Que viennent chercher ces touristes dans nos villes ou sur un GR, sinon, ici, ce clocher typique, et là, ce retable ouvragé ? Choquante au plan symbolique. Pour le fidèle, bien-sûr, mais après tout lui sait Qui il vient y rencontrer, et sait que cela vaudra toujours plus qu’un droit d’entrée. Mais aussi pour tous ceux qui viennent juste y trouver un oasis de silence au milieu de nos villes agitées. Pour mettre une bougie. Écouter le silence. Se chercher. Et s’ennuyer. Dans nos sociétés d’agitation, d’argent, de bruit, c’est un luxe que d’avoir des espaces gratuits de silence et d’ennui, l’un des derniers espaces non-marchand, qui se propose à tous sans rien vendre à personne. Plutôt que d’en restreindre l’entrée, il est urgent de permettre aux Français de se les réapproprier, comme autant de gages d’humanité d’une société qui laisse encore une place, gratuite, à l’intériorité.   Merci Henri de Beauregard Avocat au barreau de Paris. Titulaire d’une maîtrise en droit public, diplômé d’études supérieures en sciences politiques.   #faireface

LES “NOUVELLES” TRAVERSES BIBLOC DES FRANÇAIS #mondeferroviaire; #géniecivile Dans ma publication précédente (https://lnkd.in/degTZB_U), je comparais une traverse monobloc avec une bibloc conventionnelle, et je concluais que les inconvénients de ces dernières avaient conduit à sa progressive retraite dans les années 90 et replacement par les monobloc. Donc voilà, le docteur espagnol Ricardo Insa Franco m’a dit que les français avaient amélioré les traverses bibloc en regard avec le design original de Roger Sonneville (RS) et ils les avaient utilisées pour la ligne à grande vitesse (LGV) Paris – Lyon. Comme on peut observer, ces traverses ont les blochets optimisés pour atteindre une plus grande rigidité qui permet le correcte alignement vertical et horizontal de la voie, tandis que l’entretoise est totalement cachée sous le ballast, et donc, elle est plus protégée de l’air humide et voire de l’eau pluviale, puisque le drainage des LGV’s est très bon. Sur l’image ci-dessous, prise par le même Dr. Ricardo Insa Franco en 2001, et cédée par lui, on peut observer ces traverses bibloc optimisées sur la prolongation vers Marseille de la LGV Paris – Lyon: